Introduction
Nous le savons tous, Sissi en pince pour Ulrich, et a depuis la maternelle. Mais qu'en est-il pour lui ? Il vous dira qu'elle est pot-de-colle, prtentieuse, qu'il n'a pas confiance en elle ... Biensur, il vit une relation plutt complique avec Yumi, mais eux-mmes le disent : ils sont juste amis ! Alors, Ulrich commence se poser des questions. Yumi ne veut pas de lui, pourquoi insister alors qu'il y a plein d'autres filles qui sont prtes tout pour tre avec lui ? Et surtout une ! Sissi ... Et nul ne peut l'ignorer, elle lui a fait assez de coups bas. Bien que, rare sont les fois o elle se souvienne de ses sales blagues et de ses mauvais piges. Heureusement pour Ulrich, elle a galement oubli les bons moments en sa compagnie o ils ont innombralement frl la mort. Alors pourquoi parle-je d'agrables moments s'il s'agit de si atroces moments ? C'est que pendant ces attaques de XANA, car vous l'aviez compris, c'est toujours XANA qui l'ai met en danger, ils ont toujours t sympa l'un envers l'autre.
Donc, Ulrich se pose de questions. Pourquoi ne pas accepter la prochaine demande sortir qu'il recevra ? Et mme si a vient de Sissi ! Et si a se e bien, ce sera lui qui invitera la demoiselle.
Partie 1
En fait, Ulrich tait en train de penser tout a dans son lit, alors qu'il venait de se rveiller. Maintenant que ses yeux sont ouverts, il ralise que Odd est parti manger sans l'attendre. Il s'tire, se lve puis va prendre une douche froide, pour oublier les penses qu'il a pu avoir en phase terminale de son sommeil, avant de redre Odd. En route pour aller au rfrectoire, il e par la chambre de Jrmie, celui travaillant sur le moyen d'aller sur le rseau :
- Comment tu peux travailler sur ton ordinateur cette heure du matin ?
- Quand quelque-chse est important, il n'y a pas d'heure !
- Allez ! Arrtes-a cinq minutes et vient manger avec moi.
- Comme tu veux. De toute faon a n'amne rien.
- T'en fais pas, tu vas trouver Einstein.
- Ouais. Dans un an ou deux, certainement ...
Au rfectoire, quand Ulrich et Jrmie sont arrivs, Aelita n'tait en rien en grande conversation avec Odd, celui-ci trop occup manger ses croissants, son bol de crals, sa pomme et son jus d'orange. Yumi n'tait pas l, tant externe, elle prend sont petit-djener chez elle, bien qu'il lui arrive parfois de le prendre Kadic mais ici ce n'est pas le cas.
Au moment o les deux jeunes gens ont res les autres, plateaux en mains, Sissi, elle, s'en va, murmurant d'une voix terne ant devant leur table, un faible :
- Salut.
Elle a pos son plateau puis est sorti tandis que Herv et Nicolas la suivaient de loin, pour aucune raison apparente. Odd alors bafouille quelque chse :
- Ch'est bijarre cha !
- Quoi ? demande Aelita.
- Bah d'habitude soit elle les mne la baguette, soit ce sont eux qui la suivent comme des p'tits chiens, rpond Odd aprs avoir aval son dernier morceau de croissant.
- Et alors, ils la suivaient bien, non ?
- Bah oui mais l ils sont bien plus loigns d'elle que d'habitude.
Pendant que Aelita et Odd discutaient du "primtre" entre Sissi et ses deux accolytes, Ulrich ne put s'empcher de repenser son rveil. Sa douche froide n'avait en rien effac les penses qu'il a pu y avoir. Sans doute tait-ce cel, songea-t-il, Sissi avait abandonn. Elle en avait assez d'attendre Ulrich, assez de lui tendre des piges, assez de jouer les potiches sans cervelle, assez de se trimbaler partout les looseurs de service ... Bref, assez de sa vie. Pour Ulrich c'tait tout fait plosible. Lui la connaissait sous d'autres jours que sous ses airs de peste. Il a failli se noyer dans un ascenseur avec elle, et avant cela elle avait soigne son bras cass. Elle s'est dj battu contre son propre pre, mme s'il t sous l'emprise de XANA, il faut pas mal de courage pour s'en prendre un tre cher. Aussi elle avait accept sans rochigner de rendre service en remplaant Yumi pour la photo de classe. Les retours dans le ont pas mal effacer la mmoire de Sissi, mais Ulrich lui se souvient de tout. Comment lui en vouloir d'avoir parfois commis certaines erreurs alors qu'elle mme ne se souvient pas les avoir faites. Comment se souviendrait-elle qu'elle a fait chanter Ulrich avec son journal ? Qu'elle a fait croire a un Ulrich amnsique, qu'elle tait sa petite amie ?
- Elle en a marre.
Cette phrase est sortie toute seule de sa bouche.
- Qu'est-ce que tu racontes !
- Rien, Odd. Rien.
- Tu sais que tu deviens aussi fou qu'elle.
Il fallait vite rpondre quelque chose, ne rien laisser transparatre des ses derniers songes. Aprs un millime de seconde de rflection et d'un ton ironique, il sortit une phrase qui convenait :
- Merci de cette charmante comparaison.
- Qu'est-ce que tu voulais dire alors ? On t'a bien entendu. Tu as dit "Elle en a marre", affirma Aelita.
- C'est pas compliqu comprendre, dit Jrmie. Il a dit que Sissi en avait assez des deux crtins cosmiques qui la suivent o qu'elle aille.
- Voil ! C'est a. C'est ce que je voulais dire.
Partie 2
Yumi avait ret ses amis trois quarts d'heure plus tard dans la cour, puis sa classe, en mathmatiques, tandis que les autres partaient tudier des plantes en fort. Ils taient en groupe, deux par deux. Jrmie avec Aelita, Odd avec Ulrich, mais Sissi, qui habituellement se met avec Herv, pour remonter ses notes, tait seule dans son coin. Ses deux compres taient ensemble. On aurait pu croire que Sissi prendrait des trfles pour des mille-feuilles. Mais non, celle-ci travaille srieusement, apparemment quand elle le veut bien. En fait, Odd et Ulrich aussi s'taient dcids travailler plus. Le pre de ce dernier trouvant que ses amis ont une mauvaise influence sur lui, l'avait menac de le changer de collge si sa moyenne scolaire continuait de chuter. Et puis les attaques de XANA taient de moins en moins frquentes, et cel pour une raison inconnue aux yeux de Jrmie. Le fait de vouloir plus travailler qu'avant n'a pas empch Odd et Ulrich d'tre distraits :
- T'as vu ? Sissi est seule.
- Si tu savais comme a m'interresse !
- Bah on est vingt-huit dans la classe, et si je ne me trompe pas c'est un multiple de deux.
- Je te rappelle que Hedi est malade, Yolande a prfr qu'elle reste dans sa chambre.
- Ah oui, c'est vrai. Mais il y a Tho, elle aurait pu se mettre avec lui !
- Ouais mais depuis qu'il sort avec Nomie, il n'a plus le droit de lui parler.
- Quoi ! Il se laisse commander par une fille !
- Nan, de toute faon Sissi ne voulait pas de lui alors il ne lui parlait dj plus.
- Je l'avais pas prsent Yumi aprs un retour dans le ?
- Si.
- Bah qu'est-ce qui s'est ?
- Comment je le saurais ?
Pendant le repas de midi, Ulrich tait encore une fois pensif. Ce n'tait pas seulement ne pas parler qu'il avait fait, il n'avait pas non plus cout ce que disaient les autres. Il s'tait dcid parler Yumi, mettre les chses au clair. Comme celle-ci s'entrane toujours avant les cours de l'aprs-midi, il a prvu d'aller la voir la salle de sport.
- Ah t'es l ! J'pensais que tu prfrais le pencak-silat aprs les cours.
- Bah, euh. En fait j'suis pas l pour a.
- Ben vas-y, j't'coute !
- Tu sais, tu m'avais dit que tu voulais qu'on soit juste amis.
- Ouuiii.
- Et ben, en fait j'avais eu un peu de mal ... me faire l'ide ... mais maintenant c'est fait.
- Quoi !
Yumi eu l'air tone, comme si elle aurait prfr qu'Ulrich ne cesse de penser elle, et d'tre jaloux.
- Ben oui, tu l'as dit toi-mme, nos histoires taient compliques et puis c'est mieux qu'on garde une bonne amiti.
- En fait tu voulais me dire que toi aussi tu voulais qu'on reste amis.
- Quand tu m'as dit a j'ai dit oui car c'tait ce que tu voulais, mais maintenant je le veux.
- Alors on est d'accord sur ce point ?
- Tout fait. Bon, continues ton entranement.
Et c'est ce que Yumi fait, tandis qu'Ulrich ret les autres. En arrivant, Odd demande :
- Bah t'tais o ?
- Parti voir Yumi.
- Ah ouais et qu'est-ce qui s'est ? Vous vous tes remis ensemble ?
- Rien, et non.
Partie 3
Comme prvu, Ulrich fait du pencak-silat aprs les cours. De nombreuses iratrices sont dans la salle de sport, sauf une. Celle qui tait le plus souvent l, et qui exaspr le plus Ulrich par ses encouragements. A cause de cel, bien souvent il s'enfermait dans la salle pour tre tranquille, mais le complexe sportif tant une proprit de Kadic, les collgiens et lycens ont tous le droit d'y aller leur guise. Soudain il se souvint qu'il y avait un entranement de majorettes, il tait donc tout fait normal que Sissi ne soit pas l. Il commenais trouver que son "rveil" lui mont la tte. Ce n'est pas normal que de malheureuses pensees hantent l'esprit de quelqu'un toute une journe !
Comme Jim s'occupait aujourd'hui des majorettes, l'entranement de foot a t annul. Et comme Ulrich tait toujours dcid ne pas changer de collge, il s'est dit qu'il pourrait en profiter pour aller un peu la bibliothque. En arrivant il fut surpris qu'il n'y est qu'une seule personne. Il prend un livre d'histoire et va s'assoir quelques tables plus loin que celle de Sissi.
- C'est rare de te voir ici. Enfin, je veux dire, te t'y voir seul.
- Ca c'est mon problme. Et toi, t'es majorette, tu devrais t'entraner normalement.
- Si je ne m'tais pas fait virer, oui, c'est ce que je ferais.
- Vire !
- Bah oui, j'ai jamais vraiment su envoyer et rattrapper mon baton ... Mais ils avaient b'soin de moi alors jusque-l ils m'ont gards.
Soudain, Ulrich ralisa que Sissi tait bien plus bizarre que d'habitude, puisqu'elle avait eu l'opportunit de venir le voir, et qu'elle ne l'a pas fait.
- Dsol pour toi.
- Dsol ! Tu t'en fiches de moi. Tu n'as pas tre dsol. De toute faon on ne pourra pas me changer, je suis nule en sport, en cours, et pas seulement, mes pseudo-amis sont nuls. Tout est nul chez moi, et c'est comme a.
- Waouh !
- Quoi ?
- Bah t'es pas autant narcissique et gocentrique que d'habitude.
- Si tu le dis.
- Et tu fais quoi ici ?
- J'pourrais te retourner la question.
- Je rvise.
- Moi aussi, mais a ne te ressemble pas.
- A toi non plus.
- Tu crois vraiment qu'on va venir me chercher ici ?
- Oh alors tu t'caches !
- Oui et non. Si je vais dehors, tout le monde saura que je ne suis plus majorette ...
- Ils vont bien s'en rendre compte !
- ... et mon pre veut me faire redoubler.
- Ca nous fait un point commun.
- Hein ?
- Si mes notes descendent encore, je quitte Kadic.
- Et tu ne verrais plus Yumi.
- Ni Odd, ni Jrmie, ni Aelita, dit Ulrich un peu sur la dfensif.
Dj qu'il parlait rarement de son ventuel changement de collge, il fallait que Sissi lui rappelle qu'il ne verrait plus ses amis, qu'il ne combattrait plus XANA avec eux.
- Dsole, si je t'ai offens.
- Dsole ! Tu t'en fiches pas mal de mes amis !
- Non, en fait je trouve que votre bande est trs ... innatendue. Il y a comme quelque chse qui vous lie.
- Ah bon ?
- Ben Odd et toi a va encore, vous tes dans la mme chambre. Aelita aussi puisque c'est sa cousine ...
- Mouais, dit trs faiblement Ulrich.
- ... mais l'intello et la fille plus ge, a fait un peu bizarre.
- Mais on s'entend tous trs bien.
- Je n'en doute pas. C'est bien pour a que je vous jalouse.
- Pourtant, t'aurais facilement pu tre dans le coup, marmonna Ulrich.
- Quoi ?
- Rien.
Partie 4
Aprs cette longue discussion trs instructive, Ulrich et Sissi se sont enfin plongs dans leur livre. Ils sont rests la bibliothque jusqu' ce que Jim vienne la fermer.
- Qu'est-ce que deux cancres peuvent-ils bien faire dans une bibliothque.
- Essayer de ne plus l'tre, rappliqua Ulrich.
Ils taient les derniers aller au rfectoire pour le dner du soir. En y entrant ensemble, certains parurent stupfaits. Ils prirent leurs plateaux, Rosa y mis du hachi-parmentier, puis allrent chacun de leur ct. Sissi, encore seule, une table et Ulrich rejoignit Odd. Jrmie et Aelita taient dj repartis, pour chercher comment aller sur le rseau.
- Et, t'tais o avec Sissi ? interrogea Odd.
- A la bibliothque.
- La bibliothque ! Ah ah ! Laisse moi rire en l'imaginant dans le culte du livre.
- Lache lui un peu les baskets.
- Bah quoi, tu la dfends ? Toi je sais bien pourquoi tu y tais, mais elle ! Surement pour t'observer !
- Dj elle y tait avant moi, elle ne savait pas que j'y irais. Et si je la dfend c'est qu'elle a le mme problme que moi.
- J'vois pas comment son pre la changerait de collge alors qu'il est le principal de Kadic !
- Il veut qu'elle redouble.
- Oh ... Ca serait bien triste. Sur qui je vannerais, moi ?
- Elle, au moins, tu la verrais toujours dans la cour !
- Pas faux.
Ulrich a vite eu fini de manger alors pendant que Odd terminait de se goinfrer, il se remmora la petite discussion qu'il a eu avec Sissi en venant au rfectoire.
- On a un bon moment, non ? Demain on a pas cour, on pourrait p't'tre aller au cinma ce soir
Il avait tout de mme hsit avant de proposer cette sortie la jeune fille. Il ne la connaissait que trop bien, elle risquait de s'emballer rapidement.
- En temps normal, tu sais bien que j'aurais accept. Mais l, vu nos notes, y vaudrait mieux qu'on rvise.
- Mouais.
- Mais on peut le faire ensemble !
- Okay, d'accord. Mais pas dans ma chambre ! Tu comprends, avec Odd ... a ferait bizarre pour lui ... de nous voir rviser ... ensemble.
- T'auras qu' venir dans ma chambre. Tu trouveras bien quelque chse lui dire.
Odd et Ulrich arrivent dans leur chambre. Ulrich n'avait toujours pas trouv le moyen de faire faux bond Odd. Il a donc profit que celui-ci soit sorti en cachette pour sortir Kiwi. Par contre, il ne vit pas, en allant dans le couloir, qu'Aelita sortait de la chambre de Jrmie. Il russit facilement l'esquiver mais il faudrait attendre un peu dans la salle de bains, car la jeune mademoiselle allait aussi en direction des chambres des filles.
En entrant dans la chambre de Sissi, Ulrich fut surpris de voir un certain changement dans la chambre. La jeune fille semblait avoir t prive de quelques biens matriels. Et comme pour rpondre son regard interrogateur sur la disparition des objets insignificatifs pour tout le monde, mais qui fesaient parti de la vie de Sissi, celle-ci dit :
- Mon pre trouve que je n'ai pas besoin de sche-cheveux, de fer boucler, de CDs, de posters, etc, pour rviser, et il a peut-tre raison. Mais j'ai russi ngocier le fait de garder certaines chses.
- Ton maquillage ! dit Ulrich en en voyant prs du miroir et sur une tagre.
- Il y a de a, aprs tout je ne vois pas en quoi le fait d'tre maquille pourrait m'empcher de me cultiver. Sinon j'ai aussi russi garder mon ordinateur. Je peux avoir besoin du web pour des recherches, alors il a accept que je le garde.
- Il y a un truc que je comprend pas, pourquoi tu ne te laisses pas aider par Herv ? Il est intelligent et c'est ton ami.
- Il n'aime pas partager ses connaissances, c'est pour a que j'ai arrt de traner avec lui.
- Et pourquoi tu ne restes plus non plus avec Nicolas ?
- Ce sombre crtin a propos de m'aider, lui, le plus idiot de la classe... Mais toi, tu aurais pu demander Jrmie.
- Il est ... trs occup. Bon, on commence par quoi ? Maths ?
- ULRICH !
Odd, en revenant avait vu Ulrich sortir de la salle de bains, et l'avait suivi.
- Shhh ! Tu veux vraiment que Jim nous prne ici !
- Mais Ulrich ! C'est Sissi !
- Odd, c'est pas ce que tu crois. On allait rviser.
- Ah oui, et je devrais p't'tre vous croire aussi, non ?
- Crois-moi, Odd. Sissi et moi on ne fesait rien de mal. Crois-moi, on fait rien de mal.
Fume. Soudain, Ulrich est dans son lit, Odd le secouant par les paules.
- Vieux ! De quoi j'devrais t'croire ?
- Qu'est-ce qui c'est ?
- Tu criais que tu ne fesait rien de mal et qu'il fallait que j'te crois.
- Ah ! Si tu savais le cauchemard que j'ai fait.
- Vas-y, racontes.
- Abandonnes, Odd.
- Allez ! Racontes !
- Bon, d'accord. Si tu veux. ... Je sympathisais avec Sissi, l'horreur !
- Qu'est-ce y a t'as oubli ?
- Quoi ? s'inquita Ulrich.
- Ben tu sors avec elle !
- ..., t ... t...
- Ah ah, si tu voyais ta tte !
- Ne me r'fais plus jamais a ! J'ai failli y croire en plus !
Alors, rassur ? Ben oui, mme si j'aimerais bien que Sissi s'entende un peu mieux avec la bande et tout particulirement avec Ulrich, il faut respect l'esprit du DA. Pour ceux qui n'auraient pas compris, Tout cela n'tait qu'un rve d'Ulrich, enfin un cauchemard. Mais les rves, c'est bien le subconscient, non ? Peut-tre que c'est ce que veut vraiment Ulrich ! Non, l je m'emballe. Cette fanfic n'est pas destine vous plaire, quoi que a serait pas mal. Et n'oubliez pas, je ne suis pas crivain, enfin vous l'aurez surement remarqu puisque j'ai misbeaucoup trop de dialogues et que la description est quasi-inexistante.